Dimanche 4 juillet, 10 marcheurs prenaient le départ sur 25 et 50 km du premier Brevet AUDAX de VERDUN.
Pourquoi devient-on marcheur Audax à l’ASPTT de Verdun ?
Pourquoi ne le deviendrait-on pas ? Cela tient au caractère, il faut aimer l’effort de longue durée, l’effort gratuit.
Comment devient-on marcheur Audax ?
Avec patience. Il faut être très patient car c’est une spécialité pour laquelle le mental est aussi présent que le muscle. L’un ne peut pas aller sans l’autre. On peut la comparer au Tour de France : il ne suffit pas d’avoir un gros plateau , il faut aussi savoir gérer sa cadence.
Qu’est-ce qui fait un bon marcheur Audax ?
D’abord le sens de la préparation et le choix des objectifs, car, en marche on ne prépare pas un 50 km comme un 25 km ou un 100 km. Pour des raisons de récupération et de préparation, il faut programmer sa saison et ses objectifs.
Qu’est-ce qui est le plus dur dans la marche Audax ?
La longueur de l’effort. Marcher pendant 50 km à 6 km/h exige une de préparation. Il faut du travail, essentiellement sur l’endurance, pour tenir un effort de 10h00, arrêts compris pour un 50 km – ( 8 h 20 de marche – 1 h 40 d’arrêts).
Y a-t-il une pathologie du marcheur ?
Peu. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les marcheurs ne connaissent pas de problèmes de bassin ou de dos. Au contraire, la rotation opposée du bassin et des épaules muscle le dos.
Texte : Patrick Lefetz
Photos: Jean-Claude Houdelette
Au ravitaillement
Au bord de Meuse pendant la marche
A l’arrivée
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